Mardi 13 septembre,
Les nuages sont là ! L’automne s’annonce bien. L’atmosphère se rafraîchit et le sol se prépare à accueillir la pluie. Les humains , par contre, retrouvent tous leurs termes péjoratifs pour parler de la pluie (temps pourri, temps de m…, mauvais temps, pas de chance, etc.)
La pluie nous amène l’eau, car les nuages se condensent. Les nuages c’est de la vapeur d’eau. Chaque molécule d’eau de chaque nuage est allée voguer dans l’atmosphère pour se recharger en énergie lumineuse. Et se nettoyer des influences émotionnelles des humains. Le nuage permet ce transfert magique qui redonne à chaque molécule un message harmonieux pour chaque cellule vivante. D’ordre musical, je pense.
(Ici, une conférence sur la cohérence de l’eau en relation avec les champs électromagnétiques. )
Et les gouttes tombent, et ruissellent sur les plantes, des fleurs, des roches, des peaux, des maisons. La vie redevient souriante et nous nous abreuvons d’elles.
Notre corps est constitué de molécules. L’eau représente 99,2 % du nombre de nos molécules.
Si nous étions obligés d’accueillir 99 personnes chaque jour chez nous, nous serions intéressés de connaître de qui il s’agit et ce qu’ils amènent avec eux. Mais bizarrement, en ce qui concerne l’eau, nous laissons d’autres personnes se charger de ce tri…
Or l’eau est notre principale informatrice. Marc Henry en connaît quelque chose, et Jacques Benveniste, en son temps avait ouvert une brèche dans l’ignorance dogmatique à ce sujet.
Nous absorbons ainsi chaque jour une cohortes de molécules d’eau, et chacune amène un message pour le corps. Mais une fois à l’intérieur, que se passe t’il ?
A l’intérieur de notre corps, ce sont les microzymas qui gèrent l’ensemble de l’activité cellulaire. Antoine Béchamp les a mis en évidence en 1858. Ils sont constitués de silicium.
Tiens donc ! Du silicium ! Mais c’est avec du silicium qu’on peut stocker de la mémoire sur les ordinateurs et toutes les tablettes, téléphones cellulaires ou clé USB !? Rien de nouveau sous le soleil !
Ces microzymas entretiennent donc nos cellules grâce aux informations que leur amènent les molécules d’eau . A ce sujet, voyez encore Marc Henry lorsqu’il parle de l’eau dans le corps, il la nomme “eau Morphogénique“, ce qui signifie :”qui engendre la forme”. La molécule d’eau une fois dans le corps n’est plus liquide, ni vapeur, mais morphogénique.
Or, lorsque l’eau a été détournée des chemins prévus par la nature pour aboutir au corps ( via les stations d’épuration, les traitements chimiques les pompes, les citernes, les tuyaux…), elle a perdu ses messages de lumière.
Les microzymas , face à une telle amnésie, vont essayer de pallier à ce manque et peuvent fabriquer des bactéries. Ces bactéries commencent alors une œuvre de transformation de certains éléments pour tenter de rééquilibrer les cellules. C’est la maladie.
On a attribué aux bactéries, depuis Pasteur, le rôle du coupable de la maladie. C’est exactement l’inverse. Les avancées sur le “Biochar” montrent très bien qu’une bactérie est là pour transmuter la matière.
Toute transmutation produisant de la chaleur, il est normal de constater de la fièvre chez certains malades dont le déséquilibre mobilise beaucoup de bactéries.
Je cesse ici ma démonstration.
La mémoire de l’eau, les microzymas et les transmutations sont trois domaines de la science niés par des dogmatistes qui se disent scientifiques.
Devinez pourquoi ?
Et commencez à danser sous la pluie !