L’oeuf et la Poule

Une discussion entre deux copains…

– Alors, tu en es où avec ton histoire de l’oeuf et de la poule ? T’as réussi à trouver qui est arrivé en premier ?

– Je constate que tu es toujours moqueur ! Je ne parle pas de la poule, mais uniquement de l’oeuf !

– Mais je sais, mais j’aime bien te faire marcher en reprenant ce thème impossible à résoudre. Bon, maintenant je suis disposé à t’écouter. Raconte moi l’histoire de l’oeuf !

– Super ! Bon, alors voilà l’énoncé du problème, qui existe depuis le début de la chimie analytique : un œuf (de poule) prêt à éclore contient 5 fois plus de calcium qu’un œuf (de la même poule) fraîchement pondu. D’où vient ce calcium supplémentaire ?

– Ben… de la coquille ?

– Loupé ! La coquille est toujours là lorsque le poussin la casse pour sortir. Par contre il possède un squelette et tout son corps s’est formé sans le moindre apport extérieur. Je n’entrerais pas dans le détail de tout ce qui le compose, je m’en tient juste au calcium qui, bien évidemment est le premier constituant de son squelette. D’où peut bien provenir ce calcium ?

– As tu demandé à ceux qui savent ?

– Oui, mais les réponses sont décevantes… du style :

« Les derniers jours avant l’éclosion, le calcaire de la couche interne et de la couche intermédiaire se dissout partiellement pour fournir le calcium nécessaire à la solidification du squelette du jeune poussin. L’œuf devient alors moins solide, tandis que les os du poussin prêt à naître sont renforcés. Le petit gallinacé peut alors facilement percer sa coquille. »

… Il n’est aucunement question d’augmentation du nombre des atomes de calcium, seulement d’une transformation de la coquille qui permet l ‘élaboration du squelette. Et tu peux chercher sur le net , il a toutes sortes d’études très documentées qui racontent exactement le même style de choses, sans jamais parler de cette augmentation impressionnante de la quantité de calcium.

Imagine un coffre fort bien verrouillé dans lequel tu aurais déposé un lingot d’or. Et quelques semaines après, tu ouvirais ton coffre et tu trouverais cinq lingots… Là tu aurais de quoi réfléchir et tu ne supporterais pas qu’on te raconte des fables pour te rassurer. L’intérieur de l’oeuf c’est comme un coffre fort, rien n’y entre et rien n’en sort ! Mais les réponses que ces scientifiques donnent sonnent creux et ils devraient tous reconnaître qu’ils contibuent à camoufler un ensemble de phénomènes qui doit rester caché !

https://m.elewa.org/JABS/2014/74/5.pdf

https://www.nationalgeographic.fr/sciences/2018/05/les-secrets-de-la-coquille-doeuf

https://www.mcours.net/cours/pdf/yass3/yass3cli1715.pdf

« Le calcium de la coquille est alors solubilisé selon un mécanisme précis(voir section B1.3), puis transféré vers le réseau sanguin pour être transporté jusqu’à l’embryon,sous forme de phosphate de calcium, pour la minéralisation de son squelette. »

Et si on pose cette question à un moteur de recherche : comment se fait-il que le poussin venant d’éclore contienne plus de calcium que l’œuf dont il est issu ?

Les réponses proposées parlent de tout sauf du sujet de la question.

J’y ai passé des heures…

– Mais à quoi ça te sert ?

– Oh, je fais juste un constat : le concept de « Transmutations biologiques » n’est pas toléré par la science officielle.

– C’est quoi, çà, les transmutations biologiques ?

– Tout simplement une somme de constats ‘scientifiques’ qui invalident certaines croyances sur laquelle la science ‘officielle’ se base.

– Mais la science officielle, comme tu dis, c’est sérieux !

– C’est ce qu’ils te font croire ! Mais lorsque Corentin Louis Kervran publie ses travaux sur les transmutations biologiques, il ouvre une porte sur une autre vision des phénomènes de la vie, et cette porte ne convient pas aux ‘officiels’

LES TRAVAUX DU PROFESSEUR C. LOUIS KERVRAN

En 1962, ce chercheur, hélas, dont les travaux sont restés dans l’ombre, redoutable dénicheur, esprit d’une grande curiosité, fin analyste, dont les déductions laissaient pantois plus d’un de ses pairs, publiait les premiers résultats de ses recherches.

Il démontrait ainsi que des transmutations biologiques, simplement dues à l’énergie provenant d’êtres vivants (microbes, plantes, animaux), sont dans la nature aussi nombreuses que variées. Ces transmutations à faible énergie intéressent beaucoup de secteurs, en particulier celui de l’agriculture. Elles apportent une intéressante explication à beaucoup de questions restées sans réponse notamment dans le domaine de la santé.

– Comment se fait-il qu’une terre laissée au repos (jachère) reconstitue d’elle-même ses propres réserves épuisées par des récoltes récentes ?

– Pourquoi les pâquerettes sont abondantes sur les terrains sableux, pauvres en calcium(calcaire) alors que l’analyse découvre qu’elles sont riches …en calcium ? Pourquoi le sarrazin ayant une affinité très nette pour les terrains sableux puisse contenir autant de calcium ?

– L’expérience de Prout (1822) montre que le poussin, fraîchement éclos, referme dans son squelette quatre à cinq fois plus de calcium que n’en contenait l’oeuf au moment de la ponte ?

– Comment les poules élevées en région granitique, sans calcium, pondent-elles des oeufs avec une coquille calcaire ?

– Pourquoi des graines qui germent voient-elles le poids de leur potassium diminuer pendant que le poids de calcium augmente ?

– Ah… Effectivement il semblerait qu’on nous cache quelque chose ! Mais ce quelque chose , tu en parlerais comment ?

– Je commencerais par reprendre les termes utilisés par Kervran : les transmutations seraient dues aux microorganismes du vivant. Il n’en dit guère plus, mais un siècle avant lui, un autre scientifique fit aussi une découverte majeure qui concerne la vie cellulaire. Antoine Béchamp mit en évidence que les cellules ne se reproduisent pas, mais sont l’oeuvre des microzymas. Il fit cette découverte en utilisant des microscopes à x750 alors qu’à l’époque la microscopie ne dépassait pas x400.

– J’ai lu que cette théorie des microzymas n’était pas valable…

– Tu as lu, et tu as cru, mais Antoine Béchamp était un chercheur qui refaisait 50 fois la même expérience avec les mêmes paramètres, puis 50 fois en changeant les paramètres avant de conclure quoi que ce soit. Et Pasteur l’adorait et ils échangeaient une correspondance qui témoigne de cette admiration, jusqu’à cette découverte de Béchamp à laquelle Pasteur ne souscrit pas. Il interdisit même à ses collaborateurs d’utiliser des microscopes au-delà de x450.

Pasteur ne publiait que des certitudes et ne partageait pas ses protocoles d’expériences. Il a eu droit à un institut à son nom de son vivant, il inaugura même une plaque portant son nom à sa maison de naissance.

Béchamp vit certaines de ses découvertes attribuées à Pasteur, et l’ensemble de son œuvre scientifique n’est plus disponible . Or , dans son ouvrage sur les microzymas, on apprend que ce sont ces microcellules qui façonnent à la fois les cellules et … les bactéries, en fonction du terrain.

– Qu’entends on par ‘terrain’ ?

– C’est une notion assez floue. Si on utilisait la Bio Electronique, on aurait une idée bien plus précise de ce qui se passe dans un organisme.

– Raconte… !

– Louis Claude Vincent a mis au point cette technique de mesure du vivant. Il vérifie 3 paramètres dans le sang et dans l’urine d’un individu : le pH (acide ou basique) , le rH2 ( oxydo réduction) et la résistivité ( un courant électrique passe plus ou moins).

L’étude de ces trois paramètres permettent de faire un réel état des lieux physiologique d’une personne, et de guider cette personne vers un rééquilibrage, si c’est nécessaire, car la notion de santé correspond à des mesures précises de ces trois paramètres.

– Et ça date de quand, cette bioélectronique ?

– De la fin des années 40, mais curieusement, le corps médical en ignore tout. Prendre la température permet de savoir qu’un individu a de la fièvre ou pas, mais une simple prise de sang et d’urine qui montrerait la nature du déséquilibre lié à cette fièvre ainsi que les pistes pour aider cet individu à se rééquilibrer ne les intéresse pas.

– Effectivement, ça va loin !

– Oui, et j’ajouterais à cela l’ignorance totale de la « Mémoire de l’Eau ». Car chaque molécule d’eau qui participe à la vie cellulaire est porteuse de messages pour les microzymas, à la façon d’un clavier d’ordinateur qui informe le silicium de son intelligence artificielle, les molécules d’eau amènent ( ou pas) de quoi réharmoniser les cellules via les microzymas. Ceux ci contiennent du silicium, (comme par hasard) et ces informations leurs permettent de réorganiser en permanence l’équilibre cellulaire avec une précision que l’on imagine pas. On ne peut que la constater.

– Précise un peu ton idée… !

– Chaque cellule vivante contient 22 milliards de molécules d’eau. Qui entrent et sortent en permanence. La mémoire de l’eau a été démontrée par Jacques Benveniste à la fin des années 80, mais il a été immédiatement considéré comme un charlatan alors que 7 laboratoires à qui il avait communiqué ses protocoles expérimentaux ont abouti aux mêmes conclusions. Il a ensuite utilisé cette propriété de l’eau pour mettre au point ce qu’il a nommé « La médecine du Futur » en utilisant les ondes radio pour envoyer à quiconque les effets bénéfiques de quoi que ce soit, dilué dans de l’eau.

Un de ses successeurs en la matière, Marc Henry, a montré comment 18 grammes d’eau peuvent contenir tout ce que l’humain a écrit depuis le début de l’écriture…

– Incroyable… ! Mais pourquoi personne n’en parle ?

– Oh, toujours une question de croyances. Mais le hasard, ici fait bien les choses, car lorsque la communauté scientifique a fait accepter en 1795 le système international des poids et mesures, l’unité de masse a été définie comme étant le centimètre cube d’eau et on l’a baptisé : « Gramme ». Or, en grec, ce mot signifie : lettre écrite, en tant que mémoire ! Et le verbe « engrammer » signifie bel et bien « mémoire cellulaire ». Mais les maitres de la connaissance prétendent que ça n’a aucun rapport.

Pourtant, lorsque quelqu’un prépare un événement, il intitule « Programme » le document qui résume les détails de cet événement. « Programme » signifie bien « pour mémoire ». Ou bien j’ai mal lu…

– Waouhh !!! mais dis moi, ton œuf et son calcium en recèlent des choses !

– Tu commences à comprendre pourquoi cet exemple tout simple permet d’ouvrir des horizons fort intéressants. Je ne vais pas développer plus avant, tu pourras vérifier en suivant mes liens que tous ces faits sont issus d’études scientifiques dont les protocoles sont publiés et vérifiables par qui que ce soit.

Je concluerais en citant une autre scientifique mal connue, mais dont l’oeuvre ouvre une perspective étonnante sur l’idée qu’on se fait de la vie sur la planète terre.

Lynn Margulis est cette biologiste qui a montré comment les bactéries ont vécu sur la terre pendant 3 milliards 300 millions d’années sur un sol minéral, et après plusieurs mutations en sont venues à répandre l’oxygène de l’eau dans l’atmosphère, créant ainsi un déséquilibre qui allait leur être fatal. Mais non, car une partie de ces bactéries se sont confectionné des filtres à oxygène en créant le règne animal, et une autre partie, sous la surface du sol a organisé le monde végétal . Ces deux règnes ( animal et végétal) vivant en symbiose, puisque les végétaux contibuent à remettre dans l’atmosphère l’oxygène que la pluie amène dans le sol et dont ont besoin les animaux, et les animaux produisent le gaz carbonique nécessaire aux végétaux pour façonner leurs tiges, racines et branches.

Et, coup de théatre… ! La proportion d’oxygène dans l’atmosphère est de 21 % ! Si il n’y avait que 20 %, nous n’aurions jamais pu faire un feu !

Si il avait 22 %, il serait impossible d’éteindre un feu de forêt !

Elle amène la notion de « Symbiogénèse », qu’elle définit ainsi :

« La symbiogenèse se produit dans certaines conditions et n’a rien à voir avec une compétition continuelle entre les individus : elle signifie la synthèse permettant à l’ensemble de la vie de progresser »

– Merci, j’y vois plus clair, mais il va me falloir du temps pour digérer tout çà !

– Tu as toute ta vie !

Lumière sur La Lumière

Ce document nécessite quelques explications. C’est mon support de conférence pour montrer comment j’ai petit à petit (sur plus de trente ans) découvert la magie de la langue biblique. L’Hébreu. Chaque lettre représente également un nombre, en fonction de sa place dans l’AlephBeth…

Chaque lettre est un symbole (plus ou moins bien retransmis dans les cartes du tarot) et ce sont ces symboles qui participent au sens des mots.

Notre belle langue française est à mille lieux de cette magie. Cette magie, je propose au lecteur curieux de la découvrir d’une page à l’autre, en se laissant guider par les commentaires que j’y ai posé… Et, petit à petit la promenade portera ses fruits.

N’hésitez pas à laisser des questions en commentaire, et bonne visite !

Cliquer sur la flèche de droite pour mettre le plein écran…

Vous avez dit bizarre ?

Ce lundi 26 février 2024, le sénateur américain Ron Johnson (Parti Républicain du Wisconsin) dirigera une table ronde intitulée :

“Les agences fédérales de santé et le cartel du Covid : que cachent-elles ?”

À l’initiative de Ron Johnson, un panel d’experts internationaux, dont le Professeur Christian Perronne, exposeront les faits et la réalité sur la manière dont le « cartel du Covid » (les agences fédérales de santé, les grandes sociétés pharmaceutiques, les médias traditionnels et les grandes technologies) s’est engagé dans des opérations d’envergure menant à la dissimilation d’information en imposant la censure. Les échecs répétés et la corruption de l’élite mondiale et de ses institutions seront aussi illustrés au cours de cette table ronde.

Le Professeur Perronne, de retour de retour de Washington, déclare : « j’ai présenté les actions de l’association BonSens.org ce vendredi à l’ICS devant un panel d’experts internationaux. L’intégrité scientifique est réellement en danger et c’est un honneur que d’être invité dans l’enceinte du Sénat américain pour en parler. Espérons que cet événement donnera envie aux parlementaires français de faire de même ».

Adieu à la Virologie

Mark Bailey est l’auteur de « A Farewell To Virology (Expert Edition) » et coauteur de « The COVID-19 Fraud & War on Humanity ».

Mark a obtenu une bourse de premier cycle à l’Université de Canterbury en 1994, puis a terminé sa formation médicale à l’Université d’Otago en 1999.

Il a travaillé dans de nombreuses spécialités en tant que médecin résident et a également été médecin chercheur en essais cliniques pendant plusieurs années. En 2016, il a quitté la pratique clinique en raison de son insatisfaction à l’égard du système médical allopathique.

Voici un court extrait de son PDF “A Farewell To Virology” que vous trouverez plus bas en version française.

“”Je viens de recevoir ce document qui rassemble les incohérences et les non réponses concernant l’histoire du covid 19, dont voici un extrait :

“.VIROLOGIE ET SOCIÉTÉ FERMÉE”

Je ne suis pas un scientifique, mais c’est le droit et le devoir de chaque citoyen de regarder et de voir ce que les scientifiques ont dit, d’analyser par eux-mêmes et de tirer des conclusions de bon sens. Nous sommes parfaitement capables de le faire, et il n’y a aucune raison particulière pour que la nature scientifique du problème signifie que nous devons céder notre liberté aux mains des scientifiques.”

__ Lord Sumption, 2020

Il s’agissait de l’Agence de sécurité sanitaire du Royaume-Uni (UKHSA) qui a fourni l’une des réponses les plus étranges jamais vues en ce qui concerne la dissimulation de la véritable nature des prétendus contrôles dans leurs prétendues “Expériences d’isolement et de séquençage du SARS-CoV-2”.

Plainte au défenseur des Droits des Enfants

Bonjour,

Je vous transmets un travail très fouillé de plus de 6 années : En pièce jointe vous trouverez une la mise à jour d’une plainte en PDF (2.9 Mb) du 04 04 2022 à Madame HEDON concernant les enfants (Saisine n°22-009918). Elle concerne en premier lieu les vaccins pédiatriques, la vaccination des femmes enceintes et les vaccins en général.

Vous verrez les preuves des milliers de Chercheurs et Médecins qui ont démontrés que les maladies auto-immunes, chroniques, les cancers, les maladies du système neuronal, sont toutes parfaitement corrélées au calendrier vaccinal pédiatrique, et vous verrez quels mécanismes à l’œuvre ils ont mis au jour.

Les atteintes au système nerveux constituent les maux du siècle : maladies mentales, autisme, troubles dys, baisses du QI, sont autant de signes des temps ; personne n’étant indemne. Un véritable suicide collectif, vaccinal et chimique. Vous verrez aussi l’étendue de la corruption et les falsifications de l’industrie pharmaceutique: 56 milliards de condamnation en 20 ans et 57 milliards de lobbying par an (chiffres de 2009), soit 2.5 fois leur budget de recherche…

Quelle personne saine d’esprit peut leur faire confiance? Contrairement au leitmotiv incantatoire et hypnotique répété jour et nuit comme une prière, affirmant que les vaccins sont sûrs et efficaces, cette plainte démontre que la balance bénéfices/risques est défavorable.

Ce qui est attesté par des milliers d’analyses et d’études de scientifiques, qui se sont réellement et sérieusement penchés sur la question… Contrairement aux idées reçues, les études rétrospectives montrent que la Balance bénéfices/risques était déjà défavorable avant la systématisation de l’adjuvant aluminique. Les études de mise sur le marché étaient pourtant magnifiques.

Nous venons de voir durant la dernière crise que si un vaccin tue les patients fragiles, les patients fragiles ne décèdent plus du covid. C’est magnifique et invisible. On peut continuer de vendre… De plus, comme pour le Covid 19, ils ne prennent plus la peine de les rendre magnifiques pour contrer les risques juridiques (« on vous l’avait écrit, nous ne sommes plus responsables… »), et se contentent de corrompre, tel qu’en attestent leurs condamnations, par toutes les manières possibles les politiques et les médias qui répondent comme un seul homme.

Aussi incroyable que cela puisse paraître, il n’existe pour aucun vaccin, une étude rétrospective vaccinés contre non-vaccinés qui attribuerait une santé globale à long terme meilleure chez les vaccinés. Toute les études disent le contraire et c’est bien pour cela qu’ils font tout pour rendre les vaccins obligatoires, qu’ils finissent par vacciner les groupes témoins ou qu’ils leur injectent les adjuvants sans l’antigène : Il cherchent à casser définitivement le thermomètre, et ils ont en partie réussis.

Faut-il avoir fait médecine pour comprendre cela? Qui peut croire que l’injection répétée de produits plus toxiques les uns que les autres sur des terrains tous différents, quelle que soit la dose, peut être source de bonne santé ? Ma plainte visant aussi à informer démontre aussi qu’il existe heureusement des alternatives à la vaccination ; alternatives efficaces, simples, sûres, démontrées scientifiquement et qui permettent l’autonomie sanitaire de tout le monde…

Ce document a aussi pour vocation de servir de recueil de preuves scientifiques, à l’attention des avocats et des familles dont un proche ou un enfant a été blessé par les vaccins. Merci de diffuser, de mettre en ligne, et pour votre retour.

Je suis ouvert à toute suggestion de correction. Vous pouvez aussi interroger le Défenseur des Droits sur son action au sujet de la mise a jour de cette plainte du 25 02 2023 (Saisine 23-W-005467).

Merci d’avance et bonne lecture.

Cordialement

Plainte au défenseur des Droits des Enfants

Bonjour,

Je vous transmets un travail très fouillé de plus de 6 années : En pièce jointe vous trouverez une la mise à jour d’une plainte en PDF (2.9 Mb) du 04 04 2022 à Madame HEDON concernant les enfants (Saisine n°22-009918). Elle concerne en premier lieu les vaccins pédiatriques, la vaccination des femmes enceintes et les vaccins en général.

Vous verrez les preuves des milliers de Chercheurs et Médecins qui ont démontrés que les maladies auto-immunes, chroniques, les cancers, les maladies du système neuronal, sont toutes parfaitement corrélées au calendrier vaccinal pédiatrique, et vous verrez quels mécanismes à l’œuvre ils ont mis au jour.

Les atteintes au système nerveux constituent les maux du siècle : maladies mentales, autisme, troubles dys, baisses du QI, sont autant de signes des temps ; personne n’étant indemne. Un véritable suicide collectif, vaccinal et chimique. Vous verrez aussi l’étendue de la corruption et les falsifications de l’industrie pharmaceutique: 56 milliards de condamnation en 20 ans et 57 milliards de lobbying par an (chiffres de 2009), soit 2.5 fois leur budget de recherche…

Quelle personne saine d’esprit peut leur faire confiance? Contrairement au leitmotiv incantatoire et hypnotique répété jour et nuit comme une prière, affirmant que les vaccins sont sûrs et efficaces, cette plainte démontre que la balance bénéfices/risques est défavorable.

Ce qui est attesté par des milliers d’analyses et d’études de scientifiques, qui se sont réellement et sérieusement penchés sur la question… Contrairement aux idées reçues, les études rétrospectives montrent que la Balance bénéfices/risques était déjà défavorable avant la systématisation de l’adjuvant aluminique. Les études de mise sur le marché étaient pourtant magnifiques.

Nous venons de voir durant la dernière crise que si un vaccin tue les patients fragiles, les patients fragiles ne décèdent plus du covid. C’est magnifique et invisible. On peut continuer de vendre… De plus, comme pour le Covid 19, ils ne prennent plus la peine de les rendre magnifiques pour contrer les risques juridiques (« on vous l’avait écrit, nous ne sommes plus responsables… »), et se contentent de corrompre, tel qu’en attestent leurs condamnations, par toutes les manières possibles les politiques et les médias qui répondent comme un seul homme.

Aussi incroyable que cela puisse paraître, il n’existe pour aucun vaccin, une étude rétrospective vaccinés contre non-vaccinés qui attribuerait une santé globale à long terme meilleure chez les vaccinés. Toute les études disent le contraire et c’est bien pour cela qu’ils font tout pour rendre les vaccins obligatoires, qu’ils finissent par vacciner les groupes témoins ou qu’ils leur injectent les adjuvants sans l’antigène : Il cherchent à casser définitivement le thermomètre, et ils ont en partie réussis.

Faut-il avoir fait médecine pour comprendre cela? Qui peut croire que l’injection répétée de produits plus toxiques les uns que les autres sur des terrains tous différents, quelle que soit la dose, peut être source de bonne santé ? Ma plainte visant aussi à informer démontre aussi qu’il existe heureusement des alternatives à la vaccination ; alternatives efficaces, simples, sûres, démontrées scientifiquement et qui permettent l’autonomie sanitaire de tout le monde…

Ce document a aussi pour vocation de servir de recueil de preuves scientifiques, à l’attention des avocats et des familles dont un proche ou un enfant a été blessé par les vaccins. Merci de diffuser, de mettre en ligne, et pour votre retour.

Je suis ouvert à toute suggestion de correction. Vous pouvez aussi interroger le Défenseur des Droits sur son action au sujet de la mise a jour de cette plainte du 25 02 2023 (Saisine 23-W-005467).

Merci d’avance et bonne lecture.

Cordialement

de la réalité des Virus

Ici : le VIH, d'après la revue du CNRS de 2004 sur les virus
Ici : le VIH, d’après la revue du CNRS de 2004 sur les virus

Mon premier initiateur en la matière : Alain Scohy. très éloquent, même si son site a été interdit

Et puis Urmie Ray, mathématicienne, qui interviewe ici Valentina Kiseleva à propos de virologie.

Ici, tout est dit : toute cette histoire est une farce, une odieuse farce. Depuis Pasteur. Ici, tous les éléments qui concernent les virus et la vision létale de la vie sont analysés les uns après les autres. Et démontés car invalides.

C’est un énorme pavé dans la mare des ‘scientifiques pastoriens’, mais nous devons nous en saisir pour renforcer notre idée concernant notre propre santé , et reprendre notre liberté fondamentale. La vie n’est pas un danger, mais une réalité harmonieuse, et c’est à chacun de s’éveiller à ce formidable concept, loin de tous les dogmes, et de se redécouvrir en tant qu’être irremplaçable, doté d’un haut potentiel de créativité.

La notion de Microzyma est fondamentale pour comprendre de quoi la vie s’est dotée pour gérer les organismes vivants. De savoir que ces éléments qui bâtissent nos cellules sont fait de silicium est impressionnant ! Toute l’intelligence artificielle de nos ordinateurs, tablettes et téléphones n’existerait pas sans le silicium. Mais curieusement la science ‘dogmatique’ considère les microzymas comme une simple théorie, passant sous silence des dizaines d’années de recherche et de mise en évidence de cet élément essentiel de la vie.

microzymas et cellules

Le jour où les humains auront compris que l’intelligence artificielle n’est qu’une pâle copie de leur propre intelligence, un empire financier sombrera pour laisser la place à la notion d’abondance et d’harmonie que représente la vie au présent.

Le présent , encore une fois, est un cadeau, pourvu qu’on s’y livre en conscience !

Cours sur les microzymas

Angelo Pergola nous lit les cours de Alain Scohy sur ce sujet trop méconnu.

Il y a eu des changements sur le net et les cours en question ne sont plus disponibles sur le site d’Angelo Pergola. Ils sont rassemblés et publiés sur le site ‘Dissidence TV’, un site non dédié à la santé, ce qui discrédite nettement notre sujet.

En attendant mieux, je publie quand même cette vidéo, qui n’a rien à faire dans ce genre de site.

https://dissidencetv.fr/29/03/2021/sante/microzymas/les-microzymas-cours-1-a-10-sur-10-antoine-bechamp-et-alain-scohi/
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une pandémie par radio ?

La théorie des microzymas de Antoine Béchamp dément toute contamination, ou contagion.

Or, depuis ces deux dernières années, on a pu constater des phénomènes qui peuvent être interprétés comme une contamination : des personnes ayant été réunies quelques jours, ou quelques heures se retrouvent malades, avec les symptômes liées au covid.

Je ne m’expliquais pas ce phénomène jusqu’à ce que la lumière se fasse, tout récemment.

Lorsque Urmie Ray s’entretient avec Valentina Kiseleva, il apparaît clairement que les symptômes liés aux pesticides sont identiques à ceux du covid. Et, bizarrement, en août 2019, l’OMS aurait allégé les recommandations d’emploi des dits pesticides !

Je me disais donc que c’était un empoisonnement programmé, mais cette thèse ne tenait pourtant pas la route, car certains témoignages donnaient vraiment l’impression d’une subite contagion de groupe.

Et en y réfléchissant, je fais enfin le lien avec l’UKACO, cette entreprise aux États Unis, qui , dans les années 50, traitait les champs de maïs non pas avec des pesticides, mais avec un émetteur radio qui envoyait les fréquences du pesticide tuant les insectes prédateurs. L’armée des USA avait un jour saisi le matériel de l’UKACO et classé cette technologie comme “secret défense”.

Cette histoire est relatée dans le livre “La Vie Secrète des Plantes” de Peter Tompkins et Christopher Bird.

J’avais d’ailleurs photocopié le chapitre sur l’UKACO pour l’envoyer à Jacques Benveniste, qui m’avait chaudement remercié.

Après sa ‘descente aux enfers’ due à ses publications sur la mémoire de l’eau, il mit en place une série d’expériences sur ce thème.

Ainsi il est ‘matériellement’ possible d’expédier par radio, dans un lieu précis, une série de fréquences ayant un effet sur un groupe de personnes, effet bénéfique ou maléfique, selon le choix de l’expéditeur.

Voilà mes réflexions du jour…

Les Microzymas

Lorsque Béchamp met à jour cette découverte, il fait entrer le monde scientifique dans ce qu’on nomme actuellement le monde quantique.

Or il arrive bien avant Einstein et Broglie

Mon intention, sur ce site, est de mettre en relation ces différents aspects du réel, tant du domaine strictement matériel, celui des physiciens, que du domaine vivant, celui des biologistes, et de le proposer à toute personne vivante comme base de réflexion.

Quelques liens pour préciser cette notion… :

Ainsi une notion fondamentale de la structure du vivant a été délibérément évacuée de cursus des étudiants en biologie et médecine.

La raison en est simple : cette notion amène à se repositionner face à soi même.

Tout ce qui m’a été raconté concernant la maladie est exclusivement un mensonge.

Le microzyma est constitué de silicium, lequel est le matériau qui sert à gérer la mémoire de tous nos ordinateurs , téléphones et autres tablettes informatiques.

Mes cellules sont leur œuvre, mes bactéries également.

Mes pensées et mes états d’âme agissent sur eux.

Et depuis que j’ai découvert cette notion, ma vie a changé. Je comprends mieux l’intuition, les synchronicités, le sens du mot vrai.

J’ai découvert que chaque intention, chacun de mes gestes est un acte créateur, et si je n’y prends pas garde, je perds ma “boussole” interne.

Il y aurait une longue liste d’expériences que j’ai vécues à raconter ici, mais je préfère laisser la place à toi qui lis de faire ton propre bilan.


Le mensonge, ça suffit comme ça !

Voici l’introduction du livre de Jules Tissot “Constitution des organismes animaux et végétaux et Causes des maladies qui les atteignent”.

Ce livre a été publié en 1946

“Dans ce troisième volume de l’ouvrage : Constitution des organismes animaux et végétaux, causes des maladies qui les atteignent, j’ai pu enfin parvenir à la connaissance de la constitution morphologique et de l’organisation de la matière vivante, animale et végétale et des deux organites élémentaires de nature bactérienne qui la constituent ; ce sont :

D’une part l’organite haltère qui, du haut en bas de l’échelle des êtres vivants, forme la trame fixe qui est la substance même de la matière vivante organisée de leur organisme.

D’autre part l’organite bactérien mobile, organite colibacillaire pour les mammifères, qui végète dans le milieu liquide albumineux circulant dans les mailles de la trame fixe de la matière vivante et qui réalise les actions chimiques nécessaires à la conservation et à la manifestation des propriétés de cette dernière.


Le premier, l’organite haltère, exerce la fonction constructrice des tissus et organes. Le second, qui est la granulation microccocique du colibacille, exerce la fonction capitale de réaliser les actions chimiques ou fermentatives de l’organisme. Il participe en partie à la fonction constructrice pour l’édification d’une partie seulement du tissu conjonctif, les fibres élastiques : il y participe certainement quand il s’agit de la réparation de parties altérées de l’organisme.


Ainsi, chez tout être vivant, la vie consiste essentiellement en la transformation, par l’organite bactérien, des substances alimentaires destinées à fournir les matériaux et l’énergie nécessaires à la manifestation des propriétés vitales de l’organite haltère qui est la matière vivante organisée elle-même.


Ces deux fonctions, l’une constructrice, l’autre chimique des deux organites très différents comme forme et propriétés, sont inconnues de la Physiologie générale.


La connaissance de la première a été la conséquence de l’élimination d’une notion biologique fausse considérée comme d’importance capitale, celle de l’existence des mitochondries, due à des erreurs grossières d’observation.
Quant à la seconde, elle est la suite et la consécration des recherches exposées dans le premier volume, établissant la nature mycélienne et bactérienne des organismes vivants. Elle est surtout la résultante de l’étude continue, pendant plus de vingt ans, du mécanisme de la coagulation du sang et du déterminisme minutieux des conditions et des causes de ce phénomène.


Ces deux fonctions nouvelles, exercées par deux organites élémentaires de nature bactérienne, sont en opposition formelle avec les dogmes pastoriens dont elles établissent l’inexactitude.

Depuis trois quarts de siècle quatre dogmes faux, introduits dans la science par Pasteur et qu’on peut qualifier de catastrophiques, ont arrêté les progrès de la bactériologie et de la lutte contre les maladies des êtres vivants, animaux et végétaux, en même temps qu’ils mettaient un obstacle insurmontable aux progrès de la biologie et de la physiologie générales en ce qui concerne de nombreux points de la plus haute importance pour ces deux branches de la science.
Ces quatre dogmes faux sont :

1° Le dogme de la panspermie atmosphérique.
2° Le dogme de l’asepsie des organismes vivants.
3° Le dogme du monomorphisme bactérien.

4° Le dogme de la contagion.

(note du webmaster :  la notion de "monomorphisme bactérien" s'oppose à celle de "pléomorphisme bactérien", qui sont développées dans le lien ci dessus.)

Ces dogmes ont eu une action néfaste parce qu’ils ont complètement faussé le raisonnement des artisans du progrès scientifique en leur inculquant des notions inexactes sur la nature et les propriétés de la matière vivante et en orientant leurs travaux dans de fausses directions.
Ces notions fausses ont eu pour effet d’établir dans leur esprit une distinction fondamentale, une différence de nature inconciliable entre la matière vivante des êtres organisés et celle des bactéries, cela surtout parce que celles-ci sont considérées comme les agents virulents des maladies.

Il résulte de cet état d’esprit que tout résultat scientifique qui tend à établir un rapprochement entre la matière vivante organisée et la matière vivante bactérienne est immédiatement attaqué et combattu, cela non pas dans le but de le vérifier, mais avec le seul but d’en empêcher le développement, la divulgation, c’est-à-dire de l’étouffer.

Et voilà que les notions nouvelles que contient ce livre, que des faits matériels ne pourront que confirmer, viennent établir que ces êtres organisés sont entièrement constitués par deux organites de nature strictement bactérienne, et que ceux-ci, dans de nombreuses circonstances anormales, deviennent virulents eux-mêmes pour l’organisme qu’ils ont constitué.
L’un, l’organite haltère, devient, par une déviation ou dégénération de son état normal, l’agent des deux plus grands fléaux de l’humanité, le cancer et la tuberculose et probablement aussi de la lèpre.
L’autre, l’organite colibacillaire, peut devenir, par dégénération, l’agent de la plus grande partie des maladies de l’homme, maladies à agents colibacillaire, staphylococcique, streptococcique, pneumococcique, etc., ces derniers se confondant avec le colibacille.

Ces notions nouvelles détruisent définitivement les dogmes pastoriens, et les rendent insoutenables à l’avenir. Elles vont être violemment attaquées par une école qui depuis trois quarts de siècle défend les dogmes faux et néfastes énumérés plus haut, et veut les maintenir à tout prix en dépit de toute apparence de vérité.
Cela ne sera pas nouveau et ne sera que la suite des attaques dont j’ai été l’objet en 1926 et 1936, à l’occasion de la publication des deux premiers volumes de cet ouvrage et la suite des attaques contre tous ceux qui ont publié des notions contraires à ces dogmes : Frémy, Béchamp, Galippe, Portier.
Comment une telle situation, si préjudiciable aux progrès de la science, a-t-elle pu être créée ?

L’origine première de cette situation réside dans la négation obstinée, par Pasteur, de l’origine intra-cellulaire du ferment du jus de raisin et dans son affirmation, obstinément soutenue, de son origine atmosphérique.
Comme conséquence de ce faux principe, il a également soutenu l’origine atmosphérique des ferments qui font putréfier les matières d’origine animale, nié leur origine intra-organique et créé le faux dogme de l’asepsie des organismes vivants en affirmant que le corps des animaux est fermé, dans les cas ordinaires, à l’introduction des germes des êtres inférieurs.

La conséquence de ces faux principes a été que, les appliquant dans son mémoire intitulé Recherches sur la putréfaction (1853), il en a tiré des conclusions fausses et totalement dénuées de fondement. Béchamp, par des expériences claires, précises, faciles à contrôler, démontra, sans qu’il pût persister le moindre doute, la fausseté de ces conclusions, d’abord pour la viande, puis pour le sang, le lait et l’urine ; il prouva que la cause de la putréfaction de ces matières, était due aux granulations d’origine intra-organique, que contiennent ces matières, et qu’il appela “ Microzymas “.
De cette contradiction naquirent des discussions souvent violentes, où Pasteur fut injuste pour Béchamp et qui durèrent pendant plus de vingt ans. Jusqu’à sa mort, malgré les preuves formelles qui furent mises sous ses yeux, Pasteur soutint obstinément le faux principe de l’origine atmosphérique des ferments, nia leur origine intra-organique, et soutint le dogme faux de l’asepsie de l’organisme des êtres vivants.

Après lui, son école, ses élèves et collaborateurs, ont continué à soutenir et à défendre les mêmes erreurs et, à l’heure actuelle, plus de trois quarts de siècle après leur élaboration, son école monte encore une garde vigilante pour les conserver intangibles, et attaque toute notion qui peut les atteindre, se livrant ainsi à une lutte continue contre la vérité.
On en trouvera une preuve flagrante dans le rapport qui fut établi par une Commission la Société de Biologie en 1918, pour essayer de détruire la signification des expériences de Portier sur les « symbiotes », rapport que j’ai analysé à la page 203 de ce livre. Je dois dire ici que la destruction totale, définitive de ces dogmes est réalisée par la connaissance nouvelle des fonctions des deux organites élémentaires qui constituent les êtres vivants, animaux et végétaux, et établissent leur nature entièrement bactérienne, dont les dogmes pastoriens sont la négation.
La démonstration de la constitution du fibrinferment par des granulations micrococciques, l’observation directe de leur transformation en éléments bacillaires du colibacille, la démonstration de l’existence constante, dans le sang des animaux supérieurs, des éléments micrococciques, bacillaires, et même filamenteux et des masses germinatives (plaquettes ou hématoblastes et leucocytes divers) d’une culture de colibacille, la démonstration de la présence de ces granulations micrococciques du colibacille dans tous les liquides de l’organisme, normaux ou pathologiques, urine, lait, sécrétions glandulaires etc. constituent les faits précis qui établissent la fausseté des dogmes pastoriens, et en interdisent la défense à l’avenir.
La démonstration de la nature du fibrinferment et son identification avec le Bactérium coli est le fait capital qui clôt toute discussion sur l’exactitude des dogmes pastoriens de la panspermie atmosphérique et de l’asepsie des êtres vivants.

En s’obstinant à affirmer l’asepsie des organismes animaux vivants qui sont constitués totalement par l’organite haItère, de nature bactérienne, et par le Bactérium coli, PASTEUR a donc commis l’erreur la plus considérable que les sciences biologiques aient jamais connue.

C’est cette erreur que l’École pastorienne et les adeptes des dogmes pastoriens veulent maintenir et conserver malgré tout, contre l’intérêt de la lutte contre les maladies de l’Homme, contre les progrès de la science mais, par contre, au seul bénéfice d’intérêts matériels particuliers.

La vie avant l’oxygène atmosphérique

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La planète existe depuis environ 4 milliards 500 millions d’années.

L’oxygène dans l’atmosphère date d’environ 500 millions d’années. Pourtant, la vie existait sous la forme de bactéries anaérobies. Monocellulaires, elles dateraient de 3 milliards 800 millions d’années.

Pendant 3 milliards 300 millions d’années, ces bactéries ont prospéré dans une atmosphère fort différente de celle que nous connaissons.

Les bactéries, ces êtres unicellulaires et sans noyau, appelés aussi procaryotes, ont donc occupé la Terre seules pendant 70 % de l’histoire de la Terre et pendant 85 % de l’histoire de la vie sur Terre. En biologie, négliger les bactéries revient donc à négliger 85 % de l’histoire de la vie sur Terre. Et pendant cette longue période de temps, elles ont pu développer des capacités d’adaptation fabuleuses.

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L’immunité naturelle

La notion d’immunité est venue avec la notion de danger extérieur. La vie n’est pas un espace dangereux. Le danger naît avec l’ignorance. Je connais l’empire que la peur a créé dans tous les esprits depuis que le pouvoir de l’humain s’est installé sur la terre. Je connais aussi ce que la magie de la vie façonne à tout instant. Notre vie d’individu ne se résume pas à son appartenance à la société. Nous vivons sur un bolide lancé dans l’espace à une vitesse que peu imaginent : la terre avance autour du soleil à Mach 88, soit 109.000 km/heure ou 30 km/seconde. Elle a une masse d’environ 4700 milliards de tonnes et elle tourne sur elle même…

Sans pilote !

Et les années se suivent avec leurs saisons, leurs nouveautés, leurs récoltes de souvenirs, mais l’humain moderne garde sa tête dans le guidon avec ses certitudes tenaces. Tout ceci est ‘normal’, pense t’il !

Oui, c’est normal que la vie existe, que le soleil brille ou que les nuages amènent la pluie, c’est normal que les plantes poussent et qu’elle fleurissent, que leurs fruits soient murs quand on a faim, que les ouvrages que nous construisons soient pérenne et confortables.

En ce qui concerne les ouvrages humains, la normalité connaît des écueils. On a même créé des assurances pour y palier. Mais pour le reste, la ‘Nature’ agit comme une matrice splendide sans que quiconque puisse y déceler quoi que ce soit de mal fait, de bricolage dangereux ou de solutions liées à des restrictions de budget.

L’humain s’est tellement dissocié de cette nature qu’il ne se souvient même pas qu’il en fait partie au même titre qu’un simple goutte d’eau.

Et lorsqu’il décide de s’équiper d’un système de mesure pour que ses savants puissent calculer avec exactitude ce qui est urgent de calculer pour arriver à survivre, il utilise l’eau comme référence pour mesurer la masse et nomme le centimètre d’eau “Gramme”.

Tiens, tiens…

Le mot Gramme est un mot grec. Il désigne la lettre écrite. Grammaire, anagramme, télégramme désignent bien, même en français, les lettres avec lesquelles ont conserve notre mémoire en écrivant.

Engrammer signifie bel et bien enregistrer dans notre mémoire. Un engramme est une trace laissée dans le cerveau par un événement du passé et qui constituerait le support de la mémoire.

Mais les scientifiques sérieux refusent de voir cette évidence. Pour eux (et ceux qui les payent) la mémoire de l’eau est une absurdité non scientifique.

Ah…! Bravo les scientifiques ! Votre unité de masse exprime directement une mémoire, et vous l’avez affectée à l’eau, mais c’est juste une coïncidence !

Regardez comme ils ont l’air malins, un peu comme un voleur qui sort de la banque les poches remplies de pièces d’or qui dirait au policier qui le prend en flagrant délit : c’est juste une coïncidence !

Nous avons ici la preuve grammaticale des limites de la science. Un génial inventeur disait ceci : les scientifiques partent du principe que toute la matière existe implicitement, en oubliant que tout ce qui existe est le fruit d’une intention.

Mon métier de maçon m’a profondément initié au pouvoir de l’intention.

Essayez de poser sur un terrain vierge tous les matériaux nécessaires pour réaliser une maison et attendez que tout ce petit monde s’assemble…

Et encore, dans ce cas vous avez déjà la matière.

Mais cette matière, comment se fait-il qu’elle existe ? Et comment la vie opère t’elle pour transformer cette matière (non vivante aux yeux de nos savants scientifiques) en molécules vivantes, en cellules, en organes, en êtres amoureux, en fleurs somptueuses ?

Ici, petit détour pour expliquer la germination.

Je propose maintenant une pause pour regarder une conférence hors normes qui concerne le calendrier Maya. Un homme, Ian Xel Lungold explique ce qu’il a appris auprès des Mayas au sujet de cette tradition qui n’est pas un calendrier mais une cosmogonie et par laquelle on apprend comment la conscience s’est forgée avec l’évolution de la matière.

Tout ceci pour élargir notre horizon sur cette idée d’immunité.

La vie existe par la symbiose.

Définition de la symbiose : Association étroite de deux ou plusieurs organismes différents, mutuellement bénéfique, voire indispensable à leur survie. (La symbiose est fréquente entre les micro-organismes [symbiotes] et des plantes ou des animaux.)

Les Microzymas

Antoine Béchamp, qui est-il  ?

Professeur Antoine Béchamp − 1816 / 1908
Agrégé en Pharmacie, Licencié ès Sciences Physiques, Docteur ès Sciences Physiques,
Docteur en Médecine, Professeur de Physique et Toxicologie de l’École Supérieure de Pharmacie à Strasbourg, Professeur de Chimie Médicale et de Pharmacie à la Faculté de Médecine de Montpellier, Doyen de la Faculté libre de Médecine et de Pharmacie de Lille,
Professeur de Chimie Organique et de Chimie Biologique à Lille.
Longtemps resté dans l’ombre car il s’affrontait résolument aux vues et au mensonge de Pasteur, il déclara :

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