La lumière

Élément fondamental de la vie, la lumière est émise par les étoiles .

Notre étoile , le soleil, est notre principal fournisseur de lumière.

Sans lumière, pas de photosynthèse, donc pas de végétaux ni d’animaux.

Les études de Lynn Margulis ouvrent un immense horizon de réflexion lorsqu’elle explique comment l’apparition de l’oxygène atmosphérique a donné naissance au monde végétal et au monde animal dans une symbiose parfaite.

L’œil existe car la lumière existe

Je pratique depuis plus de douze années le Sungazing. Il s’agit au départ d’apprendre à regarder le soleil, j’explique ici la technique. Le but est de redynamiser la glande pinéale qui est notre unique organe apte à la photosynthèse. Sa principale fonction étant de produire notre hormone du sommeil, la mélatonine, je peux témoigner de la fulgurante amélioration de la qualité de mon sommeil depuis que j’ai commencé cet exercice quotidien.

Je tiens aussi à faire connaître deux ouvrages concernant la lumière.

L’Art de Voir, d’Aldous Huxley (disponible ici en PDF)

Presque aveugle â l’âge de seize ans, Aldous Huxley (1894-1963) vécut jusqu’en 1939 avec une vision très déficiente.
C’est alors qu’il découvrit la méthode du Dr W.H. Bates,
une méthode de rééducation visuelle à base psychologique,
qui lui permit en quelques mois
de lire sans lunettes..

Lumière, de Jacob Liberman

Le livre : ‘Lumière, médecine du futur’ explique comment la lumière peut influencer le processus de guérison de nombreuses maladies : stress, dépression, cancer, problèmes oculaires, dysfonctionnements sexuels, déficience immunitaire… Il remet en cause le mythe moderne selon lequel le soleil serait dangereux pour notre santé et montre que les « pare-lumière » modernes tels que lunettes de soleil ou lotions solaires sont plus nocifs que bénéfiques.

Jacob Liberman raconte comment des travaux sur le rôle des ultraviolets et démontrant leur importance pour la vie furent passés sous silence suite à une étude contradictoire qui prétendait en démontrer la nocivité. Curieusement c’est cette version négative qui fait actuellement autorité en la matière.

Ma propre expérience avec le soleil, que je regarde quotidiennement une bonne quinzaine de minutes (après tout un entraînement qui m’amena à le regarder jusqu’à 44 minutes), me laisse à penser que le mensonge est roi.

Après douze ans de pratique, je peux fixer le soleil à n’importe quel moment de la journée sans aucune séquelle. Et, encore une fois, ma santé est excellente !