La notion d’immunité est venue avec la notion de danger extérieur. La vie n’est pas un espace dangereux. Le danger naît avec l’ignorance. Je connais l’empire que la peur a créé dans tous les esprits depuis que le pouvoir de l’humain s’est installé sur la terre. Je connais aussi ce que la magie de la vie façonne à tout instant. Notre vie d’individu ne se résume pas à son appartenance à la société. Nous vivons sur un bolide lancé dans l’espace à une vitesse que peu imaginent : la terre avance autour du soleil à Mach 88, soit 109.000 km/heure ou 30 km/seconde. Elle a une masse d’environ 4700 milliards de tonnes et elle tourne sur elle même…
Sans pilote !
Et les années se suivent avec leurs saisons, leurs nouveautés, leurs récoltes de souvenirs, mais l’humain moderne garde sa tête dans le guidon avec ses certitudes tenaces. Tout ceci est ‘normal’, pense t’il !
Oui, c’est normal que la vie existe, que le soleil brille ou que les nuages amènent la pluie, c’est normal que les plantes poussent et qu’elle fleurissent, que leurs fruits soient murs quand on a faim, que les ouvrages que nous construisons soient pérenne et confortables.
En ce qui concerne les ouvrages humains, la normalité connaît des écueils. On a même créé des assurances pour y palier. Mais pour le reste, la ‘Nature’ agit comme une matrice splendide sans que quiconque puisse y déceler quoi que ce soit de mal fait, de bricolage dangereux ou de solutions liées à des restrictions de budget.
L’humain s’est tellement dissocié de cette nature qu’il ne se souvient même pas qu’il en fait partie au même titre qu’un simple goutte d’eau.
Et lorsqu’il décide de s’équiper d’un système de mesure pour que ses savants puissent calculer avec exactitude ce qui est urgent de calculer pour arriver à survivre, il utilise l’eau comme référence pour mesurer la masse et nomme le centimètre d’eau “Gramme”.
Tiens, tiens…
Le mot Gramme est un mot grec. Il désigne la lettre écrite. Grammaire, anagramme, télégramme désignent bien, même en français, les lettres avec lesquelles ont conserve notre mémoire en écrivant.
Engrammer signifie bel et bien enregistrer dans notre mémoire. Un engramme est une trace laissée dans le cerveau par un événement du passé et qui constituerait le support de la mémoire.
Mais les scientifiques sérieux refusent de voir cette évidence. Pour eux (et ceux qui les payent) la mémoire de l’eau est une absurdité non scientifique.
Ah…! Bravo les scientifiques ! Votre unité de masse exprime directement une mémoire, et vous l’avez affectée à l’eau, mais c’est juste une coïncidence !
Regardez comme ils ont l’air malins, un peu comme un voleur qui sort de la banque les poches remplies de pièces d’or qui dirait au policier qui le prend en flagrant délit : c’est juste une coïncidence !
Nous avons ici la preuve grammaticale des limites de la science. Un génial inventeur disait ceci : les scientifiques partent du principe que toute la matière existe implicitement, en oubliant que tout ce qui existe est le fruit d’une intention.
Mon métier de maçon m’a profondément initié au pouvoir de l’intention.
Essayez de poser sur un terrain vierge tous les matériaux nécessaires pour réaliser une maison et attendez que tout ce petit monde s’assemble…
Et encore, dans ce cas vous avez déjà la matière.
Mais cette matière, comment se fait-il qu’elle existe ? Et comment la vie opère t’elle pour transformer cette matière (non vivante aux yeux de nos savants scientifiques) en molécules vivantes, en cellules, en organes, en êtres amoureux, en fleurs somptueuses ?
Ici, petit détour pour expliquer la germination.
Je propose maintenant une pause pour regarder une conférence hors normes qui concerne le calendrier Maya. Un homme, Ian Xel Lungold explique ce qu’il a appris auprès des Mayas au sujet de cette tradition qui n’est pas un calendrier mais une cosmogonie et par laquelle on apprend comment la conscience s’est forgée avec l’évolution de la matière.
Tout ceci pour élargir notre horizon sur cette idée d’immunité.
La vie existe par la symbiose.
Définition de la symbiose : Association étroite de deux ou plusieurs organismes différents, mutuellement bénéfique, voire indispensable à leur survie. (La symbiose est fréquente entre les micro-organismes [symbiotes] et des plantes ou des animaux.)